Donald Trump s’est dit «ravi» d’annoncer un accord commercial, selon lui «historique».
Soucieux de démontrer qu’une désescalade est possible dans la guerre commerciale qu’il a déclarée à la planète entière, Donald Trump a fièrement annoncé jeudi un premier « accord plein et entier » conclu avec le Royaume-Uni. Le président américain y voit un premier succès qui sera « suivi de nombreux autres accords en négociation ». Le terrain d’entente semble porter sur des réductions de droits de douane dans certains secteurs. On est loin du grand traité commercial entre le Royaume-Uni et les États-Unis dont on rêve à Londres depuis le Brexit.
Le « deal » est présenté comme un moyen « de faire entrer le Royaume-Uni dans un alignement de sécurité économique avec les États-Unis ». Au-delà des superlatifs employés par Donald Trump et Keir Starmer, le premier ministre britannique qui était en liaison directe avec le Bureau ovale lors de cette présentation assez confuse, les détails sont limités. On comprend que les États-Unis éliminent les surtaxes frappant l’acier et l’aluminium…
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