On ne se lasse jamais de ces moments d’impatience, d’attente, de rêve et d’espoir.

De cette ivresse les soirs de conquête et parce que c’est la beauté du sport, parfois même de détresse lorsque le destin se montre contraire.

Vendredi soir, dans une salle de Fréjus qui ne paie pas de mine, mais chargée d’histoire puisqu’elle ramène presque quarante ans en arrière, il ne sera pas encore question de titre et d’accession, mais l’opportunité belle à saisir, pour s’en rapprocher dans une semaine au Palatinu.

Certes, le gagnant devra par la suite transformer l’essai et si le souvenir encore frais de la finale l’an passé, indique que sur un match et à plus forte raison une finale tout demeure envisageable, il va de soi que l’avantage du terrain que tenait par-dessus tout à obtenir les gaziers, demeurera un atout considérable au moment de conclure.