C’est pour beaucoup un endroit mystérieux, opaque, secret. On sait qu’il s’y passe quelque chose, mais on ignore quoi. Le Technopôle de Château-Gombert, enserré sur 180 hectares dans le 13e arrondissement, c’est un peu comme une ville dans la ville, où se côtoient quelque 4 000 emplois, selon la Métropole, qui pilote le site aux côtés de la mairie.
« Il faut le démystifier », prône Éric Barthélémy, le président de l’association du Technopôle. « On a besoin de visibilité, renchérit Laurence Olivier, directrice de l’incubateur Marseille Innovation, notamment auprès des habitants de Château-Gombert, qui ne savent peut-être pas qu’il y a ici des leaders internationaux dans leurs domaines. »