Selon une étude Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio, les souhaits et les pronostics de candidature rebattent les cartes deux ans avant la présidentielle.

Deux ans, c’est déjà long. Mais deux ans en politique, c’est une éternité. Alors que les candidats, déclarés ou pressentis, à la prochaine présidentielle tentent d’avancer leurs pions dans cette période de « précampagne » qui s’ouvre, la prudence reste de mise dans tous les camps. Car d’ici à l’échéance élyséenne, fixée en 2027, bien des rebondissements ou des imprévus peuvent encore rebattre les cartes – dans un sens comme dans l’autre.

La condamnation de Marine Le Pen fin mars à une peine d’inéligibilité immédiate – dont elle a fait appel -, dans l’affaire des assistants parlementaires des eurodéputés FN (devenu RN), en est une illustration frappante. Un mois et demi après ce coup de tonnerre judiciaire, qui compromet sérieusement les chances de la chef des députés RN de concourir une quatrième fois à la fonction suprême, l’élu du Pas-de-Calais accuse un net recul dans la deuxième vague du baromètre de l’ambition présidentielle.

Réalisée par Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio…

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