Avec près d’un surveillant manquant sur deux, la prison pour mineurs de la Valentine fonctionne en mode dégradé, entraînant de lourdes conséquences sur le suivi des adolescents incarcérés. Fin 2024, l’un d’eux a été victime d’un viol dans une cour de promenade.
L’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de la Valentine, à Marseille. (Google Street View)
L’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de la Valentine, à Marseille. (Google Street View)
“Aujourd’hui, il n’y a pas d’école.” Voilà ce que constate le député (NFP) Hendrik Davi le 7 mars, lors de sa visite parlementaire à l’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de la Valentine (11e), où une cinquantaine d’adolescents sont incarcérés. Une semaine plus tard, le 14 mars, un autre élu en visite, l’eurodéputé Jean-François Coulomme, prend […]
UNE FIERTÉ, UNE FÊTE
UN COMBAT