Tech&fest, organisé par Le Dauphiné Libéré, EBRA Events et Ebra médias, a enregistré des résultats en très nette progression dès sa deuxième édition qui s’est tenue les 5 et 6 février derniers à Alpexpo-Grenoble : 22 000 participants dont 50 % de PDG, DG et C-Level, 387 entreprises exposantes pour près de 2 000 rencontres business. 90 % des participants recommandent l’événement et 97% des partenaires sont ravis de l’expérience. Parmi ces partenaires satisfaits, il faut compter l’Université Grenoble Alpes (UGA). Pas seulement parce que près de 10 % des participants actifs sont des universitaires et/ou des chercheurs, mais surtout parce que l’université, leader européen des dépôts de brevets, y voit un événement à son image.

De fait, tech&fest s’affiche comme étant l’expression grandeur nature d’un écosystème aussi attractif qu’envié, fondé autour de l’alignement recherche, formation (donc université) et entreprises.

Ce qui va changer

Sur l’édition de février dernier, l’UGA avait réuni l’ensemble de ses composantes dont bien entendu l’institut d’ingénierie et de management Grenoble INP-UGA mais également Science Po Grenoble – UGA, Ensag – UGA, l’Ecole Universitaire de technologie, la Faculté des Sciences, Facultés Humanités, santé, sport, sociétés. Un espace tout proche des organismes de recherche, ce qui va de soi. UGA avait également mobilisé ses experts pour participer à de nombreuses tables rondes.

Mais de l’avis même de Yassine Lakhnech, président de l’UGA, il fallait « aller plus loin ». Les questions de rayonnement, d’attractivité et de dynamisation sont en effet au cœur des préoccupations d’une institution qui se projette déjà, et notamment, à l’international.

De fait, pour accompagner les prochaines éditions de l’événement, l’UGA sera un partenaire encore plus présent et souhaite produire des conférences scientifiques grand public, labellisées tech&fest pour faire vivre le festival hors les murs.

Dans la même veine collaborative, l’élaboration d’un programme dédié à la science permettra à la communauté, principalement universitaire, de mieux s’approprier l’événement dont l’UGA sera un partenaire inspirant ; et collaborant aux choix des thématiques servant de base aux échanges en tables rondes et agoras durant l’événement. Tant il est vrai que l’université ne manque pas d’experts susceptibles d’intervenir dans le cadre de publications dédiées, comme pour tous les sujets requérant un regard qualifié.

D’autre part, l’UGA invitera des délégations  parmi ses partenaires étrangers dès l’édition 2026 de tech&fest, notamment issues des écosystèmes taïwanais, singapourien, japonais ou canadien.

Enfin, le travail se porte également sur des événements parallèles et complémentaires à tech&fest comme un Forum des métiers de la tech ou le retour de la « Global Challenges Science Week ». 

À propos de la montagne 

Notre journal poursuit son déploiement éditorial sur la thématique montagne. Non seulement parce qu’il s’est engagé à soutenir les JO de 2030, mais aussi parce que c’est un enjeu de transition et de transformation permanent. À travers l’Institut Interdisciplinaire de la Transition Écologique (IITE) et en vue des échéances sportives et environnementales à venir, l’UGA dispose de chercheurs et d’experts susceptibles de nourrir la réflexion que notre titre souhaite conduire et accompagner aux côtés des acteurs et professionnels du secteur. C’est également un moment et une relation importante qui se noue alors que, pour l’édition de février prochain, tech&fest produira « tech&mountain » en marge de son désormais célèbre Village de la décarbonation devenu le point d’orgue de l’univers tech&planet. 

Un journal qui porte la parole et une université qui la nourrit semble être, pour les deux parties, le meilleur moyen pour accompagner, fédérer, expliquer et convaincre.