un référendum sur la fin de vie « si » le débat parlementaire « est bloqué »

Grâce à une voix artificielle, le journaliste Charles Biétry, victime de la maladie de Charcot, a interpellé Emmanuel Macron sur la fin de vie. « Je souhaite que le texte soit voté parce que j’entends des débats opposant la vie et la mort, je suis pour qu’on continue la recherche, qu’on renforce les soins palliatifs partout », a déclaré le chef de l’Etat.

« C’est une loi de fraternité et d’humanité », a-t-il ajouté. « Si on voit qu’il y a un enlisement, à ce moment-là, le référendum peut être une voix pour débloquer, mais je ne le ferais que si c’était bloqué », a-t-il annoncé.

Partager