RÉCIT – Le Complot Da Vinci de Yuri Felshtinsky, retrace méticuleusement le parcours du tableau le plus cher du monde : Salvator Mundi. Une enquête méthodique qui étudie la manière dont cette toile permettrait à Vladimir Poutine de faire pression sur le président américain.

Le président Donald Trump s’en est lui-même inquiété. « Peut-être qu’il me balade », disait-il de Vladimir Poutine le 26 avril dernier, lors de son passage au Vatican pour les funérailles du pape François. L’auteur Yuri Felshtinsky a dû sourire en lisant la presse ce jour-là. Son livre à paraître la semaine prochaine, intitulé Le Complot Da Vinci, est orné d’un bandeau avec ce sous-titre plein de promesses : Comment Vladimir Poutine tient en laisse Donald Trump. Difficile de rêver meilleure publicité.

Les liens, établis et supposés, entre le président des États-Unis et la Russie rapportés dans ce livre de 270 pages ne sont, pour la plupart, pas nouveaux. Depuis le lancement de sa candidature à la course à la Maison-Blanche en 2015, les médias, la justice, les renseignements et les commissions d’enquête parlementaires ont fait feu de tout bois pour enquêter sur la relation entre Donald Trump et la Russie. L’enquête du procureur spécial Robert Mueller a démontré que les services…

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Le Figaro

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