AKARTA – L’ambassadeur américain à l’OTAN, Matthew Whitaker, a déclaré que les États-Unis commenceraient des pourparlers avec leurs alliés européens pour réduire les troupes américaines en Europe plus tard cette année.

Rappelant qu’on lui a demandé de répondre au rapport que l’administration Trump envisageait le retrait des troupes d’Europe, Whitaker a déclaré qu’il était « nul n’est décidé ».

« Mais quand nous le faisons, nous mènerons ces pourparlers dans la structure de l’OTAN », a déclaré Whitaker à Reuters samedi 17 mai.

al Al Jazeera a écrit : « Bien sûr, après le sommet, plus tard cette année, nous allons commencer les pourparlers. Tous nos alliés sont prêts à le faire », a-t-il déclaré lors du sommet de l’OTAN à La Haye en juin.

Rajoud au sujet d’une conférence de sécurité en Estonie, Whitaker a déclaré que les États-Unis discutaient d’un changement de troupes avec leurs alliés pour éviter des lacunes en matière de sécurité.

Juste après plus de 30 ans dans le désir des États-Unis (de réduire les troupes en Europe), le président Trump vient de dire, assez, cela se produira et se produira maintenant, ce sera ordre, mais nous n’aurons plus la patience de retarder dans cette situation. Nous devons juste surmonter les conséquences pratiques », a déclaré Whitaker.

Amerikais De la Défense, Pete Handseth, a déclaré aux alliés de l’OTAN en février qu’une « réalité stratégique frappante empêche les États-Unis de se concentrer principalement sur la sécurité européenne ».

antic rapporte en mars que Homseth et le vice-président JD Vance se sont plaints des alliés européens dans le groupe de discussion. Homseth a exprimé sa « haine contre l’Europe qui ne profite que par le profit », selon The Atlantic.

rénovation de telles commentaires ont suscité des craintes de l’Europe concernant l’engagement des États-Unis envers l’OTAN, ainsi que les menaces de Trump de ne pas protéger les membres qui dépensent trop peu pour la défense, et son désir de continuer à soutenir la lutte ukrainienne contre l’invasion russe.

Whitaker a déclaré que les États-Unis ne se retireraient pas.

éris : « Les États-Unis resteront dans cette alliance, et nous serons de bons amis et alliés », a-t-il déclaré.

a averti l’Union européenne de ne pas limiter les entreprises non membres de l’achat de défense européenne, affirmant que cela alourdirerait l’interopérabilité de l’OTAN, ralentirait les armes de l’Europe, augmenterait les coûts et entraverrait l’innovation.

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