Posted On 18 mai 2025
Interpellé poliment mais très fermement place de Metz vendredi à la sortie d’un restaurant, Eric Piolle a eu beaucoup de mal a justifier sa politique face à une argumentation très structurée et documentée. Il est parti furieux et , rue de Strasbourg , alors que les deux personnes qui l’accompagnaient lui faisait remarquer: » c’est chaud » , il a répondu par des propos méprisants à l’égard des habitants. Rappelant qu’il décidait de toute façon. Toute la rue et au-delà ou ses propos ont été répétés a été très choquée qu’un Maire puisse avoir un tel comportement qui reflète le fond de sa pensée.
La municipalité fait monter la tension avant la manifestation de protestation qui se tient demain, lundi matin à 9 h devant l’hôtel de ville avant la réunion du Conseil Municipal à l’appel des collectifs d’habitants et de commerçants.
LA STRATEGIE DE L’EXACERBATION DES TENSIONS DE L’EXTRÊME GAUCHE
La technique de l’extrême gauche est habituelle. Il s’agit d’exacerber la situation afin d’aggraver la colère et en parallèle à hurler au loup. Le fait que montent au front les Verts/Ades de Raymond Avrillier, le parrain de la municipalité, ex Maoïstes qui savent ce que la violence veut dire, démontre bien qu’il s’agit d’une stratégie.
LES VERTS /ADES APPELLENT LA POLICE!
En même temps qu’ils excitent en refusant tout compromis sur rien, en avançant comme un bulldozer quartier par quartier, les élus Verts/Ades appellent la police ! Dénonçant » des violences et une tentative d’intrusion au sein du conseil municipal le 30 septembre 2024 » il citent le communiqué de la ville « qui saisira dans les prochains jours les autorités compétentes pour signaler ces actes et infractions répétés. »
PIOLLE SUR LES VIOLENCES DE L’EXTRÊME GAUCHE: « ON NE DIT PAS DE MAL DE SA FAMILLE »
Car évidemment il s’agit du « durcissement de l’opposition » et « des agissements de quelques-uns, largement appuyés par l’opposition municipale de droite ». Pas encore de la fameuse Esssstrême droite mais on va y arriver. Relevez que tous les collectifs des habitants et commerçants deviennent » les agissements de quelques uns ».
Dans une ville ou Eric Piolle avait répondu à l’Express ( 3/6/22) à propos des violences de l‘extrême gauche grenobloise.« Je considère qu’on est de la même famille politique. Et on ne dit pas du mal de sa famille » .
Pendant un an le Conseil Municipal a été envahi par les bibliothécaires ou par des étrangers en situation irrégulière , très bien accueillis par la majorité municipale qui se trouve désormais en danger par » une tentative d’intrusion au Conseil Municipal… »
LA LISTE IMPRESSIONNANTE DES VIOLENCES D’EXTRÊME GAUCHE NON CONDAMNEES
Dans un Conseil Municipal ou les « intrusions » ont été multiples et jamais sanctionnées ni bien entendu jamais » les autorités compétentes » n’ont été saisies. La Tartufferie de ceux qui en appellent à la police -sur laquelle ils jettent l’opprobre en permanence – est totale.
Dans une ville ou jamais aucune violence d’aucune sorte n’a émané des collectifs citoyens ou de commerçants mécontents de la politique municipale, tandis que la salle du Conseil Municipal, France Bleu Isère, l’église St Jacques deux gendarmeries, le centre culturel scientifique et technique, la desserte cablées de ST Micro et Soitec étaient victimes d’incendies criminels revendiqués par l’extrême gauche comme le rappelle le célèbre Guizmath sur Tik Tok. Des millions d’€ de dégâts à la charge du contribuable sans un mot de la majorité municipale.
LES GRENOBLOIS DOIVENT DIRE NON à PIOLLE et RUFFIN
Des dégâts peut être organisés depuis les logements municipaux accordés à l’ultra gauche rue des Alliés et au 38 rue d’Alembert.
Les collectifs d’habitants et de commerçants ont donc décidé de ne pas se laisser impressionner. Au contraire. Ils appellent les grenoblois mécontents à les rejoindre demain devant le Conseil Municipal. Il ne s’agit plus de protester seulement dans son coin ou sur son clavier, mais de se manifester physiquement afin de dire » non » à Piolle et sa continuité en la personne de Laurence Ruffin.
Rue de Strasbourg vendredi: Eric Piolle aurait tenu des propos méprisants à l’égard des habitants et des commerçants, faisant monter la tension
LA MUNICIPALITE REFUSE TOUT COMPROMIS
Car jusque là la majorité municipale oppose une fin de non recevoir à tout le monde malgré l’aggravation de la situation: cours Berriat, avenue Jeanne d’Arc, Places Notre Dame et Sainte Claire, Hoche, Place de Metz… Pas question d’un quelconque compromis. Rappelons qu’à Hoche aussi elle veut abattre les arbres, supprimer le stationnement et protéger les dealers en fermant l’accès par la rue du 4 eme Génie. Du côté de Christophe Ferrari , Président de la Métropole , malgré de bonnes paroles, on colle à la municipalité grenobloise et on obéit à ses ordres. Avec sa situation financière il serait aisé à la Métropole de remettre tout ça après les élections permettant à la démocratie de fonctionner.
LES ELUS PS ET EXCLUS DE PIOLLE RAMASSES MIETTES DE RUFFIN
Les élus PS, ( C. Cénatiempo, H .Bouzeghoub) les exclus de Piolle ( P.Clouaire, B.Schuman…) accompagnent l’irréversible car ils veulent s’allier au premier ou au second tour avec Laurence Ruffin. Pour que tout change afin que rien ne change et… garder ou retrouver les postes d’Adjoints au Maire, obéissant à la discipline de fer des Rouge/Verts. Certains veulent faire les ramasse miettes au premier tour pour les apporter au second en faisant croire que Ruffin c’est pas Piolle. Les grenoblois ont tout compris.
L’OPPOSITION DEMONTRE UN VERITABLE ELARGISSEMENT
On comprend pourquoi la municipalité tire à vue sur les collectifs et… » l’opposition de droite ». Avec le collectif » Réconcilier Grenoble » animé par Clément Chappet, l’opposition a au contraire démontré qu’elle proposait un large éventail de gauche, de droite et du centre pour sauver Grenoble. La majorité municipale est donc inquiète par la conjonction de ces mouvements.
LA SURVIE DE GRENOBLE COMME VILLE VIVABLE ET NON PAUPERISEE
Elle cherche à utiliser des individualités dominées par leur égo pour tenter d’atteindre ce front qui se forme. Mais la vague est visiblement trop forte: la survie de Grenoble comme ville vivable et non paupérisée est en jeu lors de l’élection municipale.
Notre collectif appelle donc les Grenoblois à répondre à l’appel de » Touche pas à ma place » et être présent à leur côté afin de tenter de freiner la municipalité et la Métropole à 11 mois des élections pour empêcher l’accélération de la dégradation avant l’échéance électorale.
A demain lundi 19 mai à 9 h devant l’hôtel de ville