Elle a porté cette dénonciation de violences policières jusque devant l’IGPN (Inspection générale de la police nationale). Et elle les maintient, en partie, devant le tribunal correctionnel.
Sauf qu’entre-temps, le parquet n’a pas retenu les violences policières et que, de victime, la sexagénaire est devenue prévenue pour répondre de faits de dénonciation mensongère et calomnieuse.
Le président d’audience rappelle : « On est à la fin d’une manifestation. Un individu prend à partie les policiers et leur jette cinq à six bouteilles de bière, des projectiles de verre qui atteignent leur cible. Le lieu est…