1,95 mètre, de fines lunettes rondes, une casquette verte, un simple T-shirt. Nebbiu, 27 ans, est loin de correspondre au cliché du rappeur « bad boy ».
Ses textes aussi se distinguent : réfléchis, pas énervés. Il se centre sur ses émotions plus que sur les dysfonctionnements de la société. « Souvent, on me dit “d’habitude, j’aime pas le rap, mais toi j’aime bien” », confie-t-il.
Un album écrit entre Tromsø et Montréal
Guillaume Schuller, de son vrai nom, a écrit ses premiers textes au lycée. « Je trouvais l’exercice stylistique…