Un home-jacking particulièrement violent sera jugé devant la cour d’assises du Rhône à partir de jeudi. Dans cette affaire qui rappelle des méthodes d’un autre âge, celles des « chauffeurs » qui brûlaient les pieds de leurs victimes dans les cheminées pour leur faire avouer où elles cachaient leur magot, un habitant de Collonges-au-Mont-d’Or avait vécu un calvaire.

Le « magot » ? Eric, la soixantaine, n’en possédait pas. Mais il était propriétaire d’une Mercedes noire et habitait dans le même quartier que le « bourgeois » visé par une bande de malfrats. Les deux individus qui l’avaient…