C’était un peu, aussi, le procès de la trottinette électrique, le 20 mai 2025 au tribunal judiciaire de Marseille, appelé à juger Antoine M., un étudiant en kiné âgé de 20 ans, poursuivi pour un homicide volontaire causé alors qu’il circulait sur l’un de ces engins de location. De « l’égocentrisme » sur la voie publique, avait pointé la procureure Caroline Baudre, élargissant ses réquisitions au comportement de nombreux autres usagers de ces véhicules.