« En France, on se méfie encore de celui qui dîne seul. L’individu solitaire est jugé suspect ou égoïste, note le psychosociologue Rémy Lucas. Certains profitent de cette parenthèse pour déconnecter, loin des écrans et des sollicitations. En déplacement, pour souffler, saisir l’opportunité d’une rencontre ou, tout simplement, profiter pleinement de leur repas et de leurs choix culinaires. »