Très vite l’atelier a pris. Il a même fait le plein, avec 15 à 16 personnes à chaque séance. « Ce qui était trop pour faire du bon travail, assure Daniel Quetin. Je l’ai donc scindé en deux, en fonction des degrés de perte de mémoire. Aujourd’hui, nous fonctionnons ainsi.  »

Depuis, la structure s’est imposée dans le paysage local. Il fallait donc l’institutionnaliser. Lui donner un vrai statut. « Nous avons donc voulu la transformer en association », dit Daniel…