L’image a fait le buzz durant les Internationaux de Strasbourg de tennis : au changement de côté, l’Américaine Danielle Collins, qui remplit sa gourde à la fontaine à eau située derrière la chaise d’arbitre, enguirlande un caméraman qu’elle estime trop envahissant.

« Nous, on était contents, on a bien vu notre marque ! », rigole un collaborateur de la société d’eau minérale naturelle alsacienne, partenaire du plus gros tournoi féminin de France hors Roland-Garros. Et, de loin, le plus écoresponsable.

Gourdes métalliques et capteurs solaires

Ici, les gourdes métalliques ont remplacé les bouteilles jetables et le plastique a été banni du court central, dont l’électricité est produite par des capteurs solaires situés dans les bâches.

Ce ne sont là que…