Cette interdiction, les fondateurs de l’appli en sont bien conscients. Dans sa communication, Despii se veille à se distinguer foncièrement des plates-formes de libre-service Lime, Dott et Tier qui proposaient des milliers de trottinettes à ses utilisateurs dans la capitale avant de disparaître. « La nuance, c’est qu’on n’est pas du tout un site de libre-service. On met en relation des particuliers qui possèdent une trottinette avec d’autres qui veulent en utiliser une », explique au Parisien Yovann Pigenet, l’un des cofondateurs de l’application.