En écho à des inquiétudes grandissantes pour les droits des personnes LGBT+ à Washington ou Budapest, la Marche des fiertés parisienne (ou la « Pride ») a fait entendre sa voix samedi contre « l’internationale réactionnaire », sur fond de polémique avec l’organisation en parallèle d’un rassemblement organisé par le collectif d’extrême droite Eros. Des milliers de personnes y ont participé.

Le cortège a rejoint le centre de Paris à la place de la NationAFP/Julie SebadelhaAFP/Julie Sebadelha Ce rassemblement, qui a lieu chaque année, est l’occasion pour beaucoup de couples d’affirmer leur amourAFP/Julie SebadhelhaAFP/Julie Sebadhelha Cette manifestation avait lieu ce samedi après-midi dans la capitale sous un mercure très haut, avec plus de 30 °C mesurés à l’ombreAFP/Julie SebadelhaAFP/Julie Sebadelha La manifestation a surtout pour objectif de défendre le droits des personnes LGBT+, remis en cause dans de nombreux pays à travers le mondeAFP/Julie SebadelhaAFP/Julie Sebadelha Deux personnes s’embrassent lors de la Marche des fiertés parisienneAFP/Julie SebadelhaAFP/Julie Sebadelha Ce sont des milliers de personnes qui ont défilé jusqu’à la place de la Nation ce samediAFP/Julie SebadelhaAFP/Julie Sebadelha Le cortège est parfois l’occasion de diffuser des messages plus ou moins précis. Ici, un professeur à un message à passer à ses élèves qui pourraient se sentir concernés par ses motsAFP/Julie SebadelhaAFP/Julie Sebadelha Cette Marche des fiertés parisienne, ce samedi, a eu lieu dans un contexte particulier, alors qu’un collectif d’extrême droite avait appelé à se rassembler avec l’ambition de participer au cortègeAFP/Julie SebadelhaAFP/Julie Sebadelha