« Hot town, summer in the city », telles sont les paroles du plus grand classique de B.B. King et le leitmotiv d’une collection Hermès au chic insouciant, mise en scène par un samedi torride à Paris.
Voir le défiléHermès – Printemps-Été 2026 – Mode masculine – France – Paris – ©Launchmetrics/spotlight
Présentée au sein du Conseil de Surveillance, un temple de l’architecture rationaliste française des années 1930, beau bâtiment malheureusement dépourvu d’air conditionné. À tel point que les modèles étaient les personnes les plus cool – au sens propre comme au sens figuré – lors de ce défilé.
Une collection aérée, où les pantalons sont faits de treillis de cuir et les cardigans de cuir tricoté. La moitié des chemises étaient dotées d’ouvertures, d’inserts ou de petites fenêtres en tissu, « grillagées de lumière et d’air », selon les termes de Véronique Nichanian, styliste chez Hermès.
La légèreté dans les loisirs, avec des proportions inédites – pantalons larges et vestes courtes – et une grande aisance.
« Il s’agit pour un homme d’être cool dans la ville et de sentir le vent souffler à travers lui », a ajouté Véronique Nichanian.
Elle a commencé par des blouses chirurgicales – ou Henleys – en cuir de veau seconde peau, toutes portées avec un nouveau foulard à franges. Pas une seule cravate. Elle s’est ensuite intéressée aux vêtements multifonctionnels – vestes de chemise ou safari/parkas. Lorsqu’elle travaillait avec des peaux exotiques, elle les utilisait dans des gilets de chasse.
Ses sandales en cuir étaient pleines de fentes ; ses tongs étaient garnies de corde. Plus d’une douzaine d’hommes portaient d’énormes sacs, des fourre-tout, des sacs de week-end ou des sacs de marin.
Voir le défiléHermes – Printemps-Été 2026 – Mode masculine – France – Paris – ©Launchmetrics/spotlight
« J’aime les grands sacs, parce que je suis tout petit », s’amuse la créatrice de petite taille, toujours dynamique.
De grands sacs profonds en toile et en cuir, ou finis avec des imprimés de cavaliers ou de singe dansant, « juste pour le plaisir, car nous avons besoin d’un peu plus aujourd’hui ».
Après avoir étonné les vétérans d’Hermès la saison dernière avec un escadron de shorts, Nichanian les a cette fois complètement abandonnés, alors qu’une collection masculine sur deux proposait de multiples options de pantalons courts.
Elle a opté pour sa palette très admirée de mastic, de ficelle, de vanille, de poussière et de café, produite dans les tissus les plus raffinés qui soient. Il n’y a pas de meilleure affirmation de l’élégance facile dans la mode masculine d’aujourd’hui qu’Hermès.
Les premières lignes de la chanson classique de King riment : « Hot town, summer in the city. Back of my neck getting’ dirty and gritty ».
Rien de tel chez Hermès, grâce à ces excellents vêtements.
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