CRITIQUE – Pour renouveler une franchise qui commençait à s’essouffler avec une forme de surenchère parfois grotesque, Steven Spielberg a choisi le réalisateur de Godzilla et Rogue One, Gareth Edwards.

Après plus de trois décennies de bons et loyaux services, comment renouveler une franchise qui commence à s’essouffler ? Initiée en 1993 par Steven Spielberg, la saga Jurassic Park-Jurassic World s’est progressivement émoussée. Six films pour le moins inégaux, opposant des dinosaures de moins en moins terrifiants à des humains de plus en plus stéréotypés. Les récentes errances scénaristiques des deux derniers films ont conduit la série vers une forme de surenchère parfois grotesque.

Heureusement, Hollywood peut parfois prendre conscience de ses dérives…

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Le Figaro

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