Le calvaire a duré au moins un an après la crise sanitaire.
A Amplepuis, une femme se montrait violente avec ses enfants qu’elle élevait seule.
Outre des coups violents et des propos dégradants, elle avait tondu son fils qui se moquait des cheveux de sa soeur.
Trois ans après les faits, la mère de famille a été jugée récemment à Villefranche-sur-Saône. Celle qui n’a plus qu’un enfant sur quatre à charge désormais a évoqué les difficultés qu’elle rencontrait.
Quatre mois de prison avec sursis ont été prononcés à l’encontre de la prévenue, qui devra également verser 500 euros d’amende et 900 euros de dommages et intérêts à ses enfants.