Parfois, on se surprend à hésiter entre deux écrans, errant du regard entre le noir et le blanc. Le noir, immensément vaste, déploie sa toile de constellations nocturnes au-dessus de nos crânes.

Mais il suffit qu’apparaisse un chihuahua pour qu’on se fixe définitivement sur le blanc…

Un petit chien sur grand écran. Un minuscule cabot cadré de face, qui darde sur les…