Il n’y a pas de « JOstalgie ». Le métro qui grince, s’arrête et va fermer sur plusieurs fragments de lignes cet été nous le rappelle : tout ça, c’est fini, ce 20/20 parisien, ce grand huit éveillé, le rêve est passé, et enchantons le présent sous peine de retrouver notre réputation de râleurs. Ça, non. Notre héritage, c’est la bonne humeur.

Et les retrouvailles. Comme ce 27 juillet, quand les coureurs du Tour de France, pour sa dernière étape, rouleront sur le chemin de gloire des pavés de Pigalle et de Belleville, créé en 2024 pour la course sur route des JO. Peut-être un coursier barbouillé fera-t-il, comme l’été dernier, un pittoresque et mythique arrêt toilettes dans un bistrot — et sans consommer ! — du côté de chez Amélie Poulain…