Comme il l’avait rêvé, Donald Trump a fait sienne la kermesse nationale américaine du 4 juillet pour ratifier, sous un ballet aérien de bombardiers, ce qui pourrait demeurer comme le principal fait d’armes législatif de sa présidence. Et ce tableau du commandant en chef promulguant tout sourire sa «grande et belle» loi budgétaire dans un flamboiement aux accents patriotico-martiaux ne va hélas que trop bien à la teneur du texte.