Il était environ 1 h 30, dans la nuit du jeudi 3 au vendredi 4 juillet, quand une patrouille de police repère un véhicule circulant bien au-dessus de la vitesse autorisée en agglomération, dans le secteur de la place Jacquard, à Saint-Étienne.

Les fonctionnaires arrêtent la conductrice et contrôlent ses papiers. Mais la jeune femme ne les a pas sur elle. Elle donne une identité aux policiers qui leur semble suspecte.

Rebelote 40 jours après son jugement

Elle est interpellée et placée en garde à vue. Lors de son audition, mise devant ses contradictions, la jeune femme, âgée de 22 ans, finit par reconnaître le mensonge. Et donne son vrai nom.

Qui indique aux fonctionnaires que cette conductrice a été jugée précédemment pour conduite sans permis. Le jugement a été rendu le 23 mai. Quarante jours plus tard, c’est de nouveau un défaut de permis de conduire qui est retenu contre elle.

Elle devra, une nouvelle fois, s’en expliquer devant les juges, qui auront sans doute moins d’indulgence dans ce contexte de récidive légale.