Les chiffres sont édifiants. Dans la région, 3,1 % des couples les plus modestes (ceux qui gagnent moins de 17 100 euros par an et par personne) se séparent chaque année. Un taux qui grimpe même à 3,3 % pour la catégorie juste au-dessus (revenus entre 17 100 et 24 000 euros), contre seulement 1,9 % pour les individus les plus fortunés. « Près de la moitié des séparations concernent les individus modestes et les plus modestes, contre un septième pour les plus aisés », souligne l’étude.