Dimanche 13 avril 2025 à 11:00 – par Thomas Fourcroy

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Le dimanche 13 avril à 21h10, France 2 diffuse Les choses simples. Une comédie qui n’est pas forcément celle qu’on croit, comme le répète Lambert Wilson…

Née pendant le confinement, l’idée du fameux Les choses simples aura abouti en salles le 22 février 2023. Réalisée par Eric Besnard, la comédie aura partagé une drôle d’histoire, celle d’un homme à qui tout réussi, ou presque, désespérément à la recherche d’un peu de bonheur et de tranquillité… Un scénario servi par Grégory Gadebois, Marie Gillain, Betty Pierucci Berthoud, Magali Bonat, Antoine Gouy, Déborah Lamy, Pascal Gimenez ou encore Lambert Wilson. Un dernier cité qui n’était pas franchement pour le titre du film…

Les choses simples : la rencontre entre deux hommes que tout oppose

Les choses simples nous embarque dans la vie d’un certain Vincent. Homme d’affaires ultra-connecté, il est une sommité, du genre à personnifier la modernité dans l’Hexagone… Cependant, malgré une réussite sans aucune contestation, Vincent n’apparaît pas réellement heureux. Un jour, une panne de voiture en montagne va lui faire voir la vie autrement. C’est là, dans un coin reculé, qu’il va croiser la route de Pierre, lui venant en aide et lui proposant le gîte et le couvert. Bien loin de ses habitudes, notre businessman va être bousculé par le quotidien d’un Pierre plutôt taciturne. En pleine nature, ces deux hommes qui n’ont rien à voir vont d’abord se craindre avant de s’apprécier par bribes… Et s’ils arrivaient, enfin, à remettre leurs choix de vie en question ?

Les choses simples : Lambert Wilson contre un titre qu’il estime trompeur

Parfois, le titre d’un film peut induire en erreur. Ainsi, comme le note Ciné Télé Revue, ici, il n’est pas question du « retour à la nature d’un grand entrepreneur », mais bien d’une comédie jouant sur l’ironie, portée par une certaine originalité. Dans les colonnes du magazine belge, Lambert Wilson ne dit pas le contraire, lui qui ne croyait simplement pas au titre Les choses simples : « Le titre est joli, mais il dessert presque le film, car on pense avoir droit à des poncifs sur le retour à la campagne, alors qu’il y a plein de chausse-trapes. On a beaucoup discuté le titre. J’ai bombardé Eric Besnard, le réalisateur, de propositions. Surtout que j’aime les titres énigmatiques. Je voulais qu’il s’appelle ‘L’omelette’ ! »