DÉCRYPTAGE – Avec un système opposé à celui que l’on connaît en France, le rugby s’essouffle en Nouvelle-Zélande. Les All Blacks ne suffisent plus à la renommée d’un sport auto-centré.
Il y a plusieurs choses qui nous frappent lorsque l’on pose le pied au pays du long nuage blanc. À commencer par les fortes rafales de vent. La capitale Wellington est même surnommée «Windy Welly». Ensuite, la culture maorie demeure très importante. Si tout le monde parle anglais, tous les panneaux, toutes les indications sont traduites dans les deux langues. Les Néo-Zélandais sont d’ailleurs très accueillants et n’hésitent pas à aider les touristes. Paris aurait beaucoup à y apprendre. Enfin, le rugby est omniprésent. Il est pratiqué par tous et à tous les âges. Il est appris dès l’école et pendant toute la scolarité. On recense environ 150 000 licenciés dans ce pays de six millions d’habitants. En France, c’est 300 000 pratiquants en clubs pour une population dix fois plus importante.
Là où chez nous, on retrouve des terrains de football ici et là, en Nouvelle-Zélande, on croise les mêmes pelouses mais avec des poteaux de rugby. Il n’est pas rare de croiser un enfant ballon sous le bras…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 83% à découvrir.
Vous avez envie de lire la suite ?
Débloquez tous les articles immédiatement.
Déjà abonné ?
Connectez-vous