ARTA – Le gouvernement russe a de nouveau lancé une attaque contre les géants de la technologie occidentale. Cette fois, c’est au tour de WhatsApp d’être une cible. L’application de messagerie appartenant à Meta Platforms a été qualifiée de « menace pour la sécurité nationale » par un certain nombre de députés russes et a été invité à se préparer à quitter le marché russe dans un proche avenir.

al avertissement vient directement d’Anton Gorelkin, vice-président du comité des technologies de l’information au député bas du parlement russe. Dans un communiqué sur Telegram, il a déclaré que WhatsApp était très susceptible de figurer sur une liste limitée de logiciels, ainsi que l’encouragement du pays à réduire les dépendances à des plateformes étrangères.

elpin a écrit : « Il est temps que WhatsApp se prépare à se lever du marché russe », a écrit Gorelkin. « Le Meta a été déclaré comme une organisation extrémiste dans ce pays. »

el al-Bashtab, par la Russie, encourage maintenant l’utilisation d’une application de messagerie fabriquée au pays appelée MAX, qui, selon Gorelkin, pourrait rapidement saisir une part de marché si WhatsApp s’arrête vraiment. Les données récentes suggèrent que 68% des Russes utilisent WhatsApp tous les jours, en faisant de l’une des applications de communication les plus populaires du pays.

rénal. Cette décision fait partie de la stratégie de « souveraineté numérique » de la Russie mise en œuvre par le président russe Vladimir Poutine. En juin 2025, Poutine a signé une loi visant à développer des applications de messagerie d’État intégrées aux services gouvernementaux. L’objectif est clair: remplacer la domination de WhatsApp et Telegram par des solutions locales.

la situation s’aggrave après qu’un autre législateur, Anton Nemkin, a souligné que l’existence de WhatsApp en Russie était une « violation de la loi de la sécurité nationale ». Les médias d’État TASS ont cité Nemkin affirmant que le sort de WhatsApp en Russie ne peut plus être sauvé.

WhatsApp n’est pas seulement sous le feu des projecteurs. Cette semaine, le parlement russe a également adopté un amendement légal permettant au gouvernement d’imposer une amende allant jusqu’à 5 000 roubles (environ 1 million de roupies) pour toute personne recherchant du contenu extrémiste sur Internet. Le « extrémiste » est le contenu de Facebook, Instagram, à des personnalités de l’opposition telles que le défunt Alexeï Navalny.

castique : cette décision a même suscité des critiques de la part des partisans du gouvernement, dont Margarita Simonyan, rédactrice en chef des médias pro-Kremlin, qui a déclaré qu’elle pourrait entraver le travail des journalistes d’enquête.

rénal Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, a souligné que tous les services numériques devraient être soumis à la loi russe.

» Tous les services doivent se conformer à la loi russe », a déclaré Peskov.

rénit : menaces réelles contre les applications étrangères

ronyme : Le gouvernement russe a longtemps ambité d’enlever des applications faites par l’État « désamicales », surtout depuis le début de la guerre en Ukraine. Facebook et Instagram de Meta sont bloqués depuis 2022, et c’est maintenant le tour de WhatsApp menacé.

Poutine a récemment émis des instructions officielles selon lesquelles tous les logiciels de pays imposant des sanctions à la Russie sont soumis à des restrictions supplémentaires. Une date limite de mise en œuvre? 1er septembre 2025.

si WhatsApp est complètement interdit, il est très probable que le gouvernement mettra en œuvre la même stratégie que contre YouTube. Au cours de la dernière année, YouTube a connu une baisse d’utilisateurs quotidiens de 40 millions à inférieur de 10 millions, après que le taux d’accès ait été considérablement ralenti.

, la part de la société technologique publique VK Group, qui développe actuellement des services alternatifs tels que VK Video (concurrent YouTube), a immédiatement augmenté de 1,9% vendredi – avec la nouvelle selon laquelle WhatsApp sera limité.

jusqu’à ce que cet article soit publié, Meta n’a pas encore fait de déclaration officielle sur la menace de cette interdiction. Mais en regardant les mesures agressives de la Russie qui ont commencé depuis 2022, il semble que WhatsApp ne compte que les jours sur le marché russe – à moins qu’il y ait un changement radical dans les politiques.

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