La première réquisition, ordonnée le 20 juin dernier par le préfet, n’avait pas réglé les problèmes d’insalubrité dans le métro marseillais. Après la résiliation du contrat avec Atalian, la RTM (opérateur de la Métropole) avait alors obtenu l’intervention d’Onet pour quatre semaines. Mais les poubelles ont continué à déborder et les sols sont restés couverts de crasse, l’entreprise ne procédant qu’au nettoyage de sept stations chaque jour, avec un système de roulement.