L’administration américaine a décidé de détruire des contraceptifs féminins, a indiqué à l’AFP un porte-parole du département d’État, confirmant des informations de The Guardian. Le 18 juillet dernier, le quotidien révélait que les stocks concernés, principalement constitués de stérilets et d’implants, s’élevaient à 9,7 millions d’euros et étaient destinés aux femmes à revenu faible ou intermédiaire dans des pays d’Afrique, dans le cadre des programmes de l’Agence américaine pour le développement international (USaid).
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