Ce mardi 15 avril, Caroline Margeridon était très étonnée de retrouver un de ses amis, pas du tout dans le milieu, comme candidat dans l’émission Affaire Conclue.

Des retrouvailles inattendues. Ce mardi 15 avril, deux numéros inédits d’Affaire conclue étaient proposés aux fans du programme télé-chat vintage de France 2. En fin de seconde émission, Julia Vignali et la commissaire priseur Violette ont accueilli Éric afin d’expertiser le bien qu’il souhaitait vendre : un petit bonheur du jour qui appartenait à son arrière-grand-mère puis à sa maman, décédée en juillet dernier, comme il l’a expliqué en salle des ventes face à… l’une de ses proches !

Affaire conclue : Caroline Margeridon surprise de voir l’un de ses plus anciens amis dans l’émission

L’objet au style napoléonien étant estimé à 100 euros, Éric a donc obtenu son ticket pour l’étape supérieure, à savoir la vente aux enchères de son meuble d’époque. Mais en arrivant dans la salle où l’attendaient les acheteurs, Caroline Margeridon s’est chargée de faire les présentations à la place du vendeur… Et pour cause ! « Mes amis acheteurs, je vous présente Éric que je connais depuis plus de trente ans ! Tu ne m’as pas dit que tu venais là. Bon, on va quand même se vouvoyer parce que c’est comme ça dans cette émission », a déclaré avec entrain l’antiquaire emblématique. Originaire du Val-d’Oise, Éric vit à Enghien-les-Bains et n’est pas marchand, contrairement à la brocanteuse de 58 ans. « Pas du tout ! Éric travaille dans un grand hôtel depuis très, très longtemps. Par contre, c’est un amateur d’art avec son mari, Walter », dévoile-t-elle avant de s’interroger sur sa présence ce jour-là. « Qu’est-ce qu’il se passe, vous déménagez, les garçons ?« , se demande l’amie du couple.

L’ami de Caroline Margeridon repart avec un très beau chèque grâce à Affaire conclue

Éric ne comptait pas quitter son cocon situé non loin de Paris ! Il a en effet expliqué : « Je présente ce meuble car c’est une émission que [ma mère] adorait, et c’est une façon de lui rendre hommage. Je voulais en même temps rendre hommage à tous ces métiers d’art, d’ébénisterie, car on en parle très peu à mon grand regret ». Chanceux, le quinquagénaire est parvenu à se séparer de son vieux bureau contre un chèque de 480 euros, soit près de cinq fois plus cher que le prix estimé. Jean-Baptiste Bouvier, pourtant spécialiste des arts décoratifs du XXe siècle, a été séduit par cette pièce qu’il veut, à son tour, offrir à sa mère.