Ce 28 juillet 2025, la famille royale du Danemark a
officiellement débuté ses vacances d’été. Elle s’est alors
installée dans sa résidence de Gråsten, dans le sud du pays. Pour
commencer cette pause estivale, une cérémonie d’accueil officielle
s’est tenue, suivie d’une rencontre avec les citoyens de la
ville.

Mais l’événement a été perturbé par une attaque de guêpe contre
la reine Mary de Danemark. De quoi l’obliger à se mettre en retrait
quelques instants.

Mary de Danemark : attaquée en plein bain de foule, elle
doit s’éclipser

Ce 28 juillet, dès leur arrivée à Gråsten,

Frederik et Mary ont été reçus à la mairie
avec deux de leurs enfants, Isabella et Vincent. Erik Lauritzen,
édile de la ville, leur a adressé un discours de
bienvenue, auquel le roi a répondu par un autre discours. Des
applaudissements chaleureux ont ensuite conclu ce moment, mais pas
seulement. La reine Mary a en effet été pris d’un
spasme. Sur une vidéo diffusée sur Instagram, on
peut voir la mère de famille sursauter et se frotter la cuisse. La
reine montre ensuite les airs, puis le sol.

Alors qu’elle s’apprêtait à rencontrer les citoyens qui
attendaient ce moment avec impatience,
Mary de Danemark a dû faire demi-tour et
rentrer dans la mairie, en tenant sa robe écartée de sa jambe.

La reine Mary de Danemark victime d’une
piqûre de guêpe

La raison de cette réaction ? Une piqûre de
guêpe. L’insecte est en effet venu se glisser sous la robe
de la reine, selon les journalistes sur place. Mary de Danemark
s’est alors mis en retrait, pour vérifier l’état
de sa jambe, aux côtés de son époux Frederik.

Les enfants présents, âgés de 14 et 18 ans, ont fait preuve d’un
professionnalisme en assurant le travail de représentation à la
place de leurs parents. Isabella et Vincent sont
partis à la rencontre des habitants, pour leur serrer la main et
échanger quelques mots. Mary a fini par reparaître quelques minutes
plus tard, avec un grand sourire et son aisance
habituelle. La reine a ensuite déambulé dans les rues, avec son
époux et ses enfants, comme si de rien n’était.