La consommation de boissons alcoolisées reste profondément ancrée dans les pratiques culturelles françaises. Pourtant, ces boissons constituent une cause importante de mortalité et de morbidité dans notre pays, et ailleurs. En 2015, selon les chiffres de Santé Publique France, 41 000 décès ont été attribuables à l’alcool, dont 16 000 décès par cancers, 9 900 décès par maladies cardiovasculaires, 6 800 par maladies digestives, 5 400 pour une cause externe (accident ou suicide) et plus de 3 000 pour une autre maladie (maladies mentales, troubles du comportement, etc.). Et les effets néfastes ne s’arrêtent pas à la mortalité. La bière, bien que très appréciée, devrait être consommée avec modération, notamment après l’âge de 65 ans. Selon le neurologue, neuropsychiatre, auteur et professeur américain Richard Restak, une consommation excessive de bière pourrait entraîner des problèmes de mémoire, un déclin mental, voire une démence.
Le neurologue a placé l’âge limite à 65 ans
Dans son livre The Complete Guide to Memory: The Science of Strengthening Your Mind, il explique que l’alcool altère sans distinction les fonctions cérébrales. Il s’agit d’une « neurotoxine très faible », qui perturbe la communication entre les neurones. Le neurologue a placé l’âge limite à 65 ans car il s’agit d’une période où le corps perd des neurones plus rapidement. Le déclin mental s’accélère, et « il est essentiel de s’abstenir (…)Lire la suite sur Top SantéLes chercheurs découvrent une grande cause de la goutte, et les malades n’y peuvent rien
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