Comment s’appelait ce bar avant votre arrivée ?
« Il s’appelait L’auberge du putain d’âne. Au départ, c’était une gare de diligences. Il y avait eu deux meurtres dans cette maison. Après, c’est devenu une discothèque. En 1994, un couple a racheté l’établissement et l’a transformé en restaurant, ça s’appelait Le Central, puis c’est devenu la brasserie Le Flaubert. Il a tenu deux ans, puis un autre a racheté et a développé le bar que j’ai repris en 1998. »
Vous vous êtes mis aux fourneaux tout de suite ?
« Non, on avait un cuisinier. On travaillait…