« Nos maternités ne sont pas concernées par les faits graves dénoncés dans cette vidéo », certifiait-elle pourtant mercredi dans un communiqué interne à ses trois sites en Seine-Saint-Denis. Alors que ladite vidéo diffusée sur les réseaux sociaux relayait des accusations d’actes de maltraitance et d’attouchements sur des bébés « dans un hôpital situé en Seine-Saint-Denis », la direction du groupement hospitalier de territoire (GHT) assurait, « après vérification », qu’aucune des deux personnes mises en cause, et notamment une certaine Leïla, ne travaillait à André Grégoire.