Facile vain­queur du local Gabriel Diallo (6−4, 6–2, en 1h15) et qualifié pour les huitièmes de finale du Masters 1000 de Toronto, Taylor Fritz a tenu a expliqué en confé­rence de presse d’après match les raisons des condi­tions de jeu diffi­ciles au Canada. 

« J’ai l’im­pres­sion que nous assis­tons à beau­coup de tennis moche, avec des matches truffés de fautes directes et de doubles fautes, et tout cela est dû à deux raisons fonda­men­tales. La première est la balle, qui est la plus diffi­cile à contrôler de toute l’année. Elles ne sont pas mauvaises, mais les balles Wilson US Open sortent de la raquette et prennent de la vitesse au rebond, ce qui est à l’op­posé de toutes les autres balles que nous utili­sons pendant la saison. Les balles ont tendance à ralentir, à devenir molles et à s’ac­cro­cher aux cordes, alors qu’ici, c’est l’in­verse. De plus, ce court est très rapide, plus rapide que Washington même. Si quel­qu’un prend l’ini­tia­tive et réussit un bon tir offensif, il est diffi­cile de renvoyer la balle. »