En Italien, Jannik Sinner est rapi­de­ment devenu une super­star, et sans doute l’icône spor­tive du pays, encou­ra­geant toutes les géné­ra­tions futures à s’en­traîner sans relâche.

Le président de la fédé­ra­tion de tennis italienne, Angelo Binaghi, se ravit d’avoir vu l’éclo­sion de ce cham­pion, et associe son succès à ses racines fami­liales, qui lui ont permis de garder jusqu’à aujourd’hui des prin­cipes impor­tants pour un sportif de haut niveau.

« C’est un cham­pion qui a des origines humbles et qui vient d’un petit village, avec une famille qui lui a transmis de grands prin­cipes. Quand on demande à Sinner ce qu’il doit faire après une grande victoire, il répond qu’il faut retourner à l’en­traî­ne­ment. Ca n’a pas toujours été le mantra des cham­pions du sport Italien. Il est diffé­rent de tous les autres, et cela a des effets béné­fiques sur toute la société. »