À la fin des vacances, certains vont songer à une activité sportive à laquelle s’inscrire à la rentrée pour bouger toute l’année : et pourquoi pas de la danse, pour allier l’utile à l’agréable ?
Kin Dancers School existe depuis 2017, emmenée par un champion officiel de danse sportive camerounais : Thierry Sambakin. Sa compagne, Stéphanie Bidault, nous apprend que cette association organise, outre des cours de danse afro house, de semba (à ne pas confondre avec la samba) et de kizomba, un festival annuel, fort de plusieurs centaines de participants.
C’est que ce genre de danses est très prisé, comme l’atteste un foisonnant contenu dédié sur Internet (rechercher kizomba sur YouTube pour comprendre). Il s’agit de danses de salon modernes, à mi-chemin entre le zouk et le tango. Nouveauté, cette année, pour les danseuses initiées, des cours de lady styling proposent une démarche plus esthétisante.
Chalouper, seule condition exigée
À Nantes, les sessions auront lieu les mardis, mercredis et jeudis, à partir de 19 h 30, à la maison de quartier des Dervallières et à la salle festive du Breil. La rentrée se fera la deuxième semaine de septembre et un cours d’essai gratuit est envisageable sur demande.
Découvrir la pratique de la danse pour sortir du quotidien a changé ma vie »,témoigne Stéphanie Bidault, qui gère les inscriptions : une cinquantaine d’adhérents, âgés entre 20 et 70 ans, s’adonnent, une à plusieurs fois par semaine, à un lâcher-prise, où la faculté de chalouper, en solo ou en binôme, est la seule condition exigée. On change de partenaire plusieurs fois par cours, car on est là pour s’amuser et s’améliorer au contact des autres »,précise la jeune femme conquise et avide de partage.
Les tarifs des adhésions annuelles commencent à partir de 245 € (dont une partie peut être subventionnée via le dispositif municipal Carte blanche, en fonction du quotient familial).
Contact : www.kindancers.fr