« Je me retrouve pleinement dans les valeurs, les impondérables, les priorités portées par Place publique ». Dans un communiqué transmis ce mardi 15 avril, le président de la Métropole de Grenoble et maire du Pont-de-Claix annonce rejoindre « très logiquement ce mouvement qui considère, tout comme moi, qu’il n’y a pas de fatalité, bien au contraire, qui considère que tout est possible et est force de propositions et de solutions ! »
L’élu se retrouve dans « l’approche pragmatique et progressiste »
« Je suis très heureux de rejoindre l’aventure de Place publique, mouvement politique lancé par Raphaël Glucksmann notamment, à qui j’avais apporté mon soutien à l’occasion des dernières élections européennes », explique l’élu qui avait claqué la porte du PS en 2018 après trente ans d’engagement. Christophe Ferrari salut notamment ses combats « en faveur de la réindustrialisation de la France et plus largement de l’Europe », « pour le pouvoir d’achat, le progrès social, l’égalité des chances et l’égalité femmes-hommes, la protection sociale et des droits fondamentaux, l’égal accès à la culture ou à l’école républicaine gratuite », « l’élaboration d’un Plan Marshall pour la construction de logements abordables et l’accélération de la rénovation » et « pour une action résolue et une planification écologique sans précédent ».
Il explique également se retrouver dans « l’approche pragmatique et progressiste » de Place publique sur la question de la sécurité « en agissant pour un continuum de sécurité, à tous les niveaux, qu’il s’agisse de prévention, de médiation et de répression ».
« L’heure est aux constats et à l’écoute des Français, qui ont besoin d’idées pragmatiques et volontaristes, résolument tournées vers le progrès et engagées. Je crois en ce mouvement et en sa capacité à regarder les problèmes en face pour tenir cette promesse », assure l’élu.