Parlez-nous de cette peintre, Marie Nivouliès…
« C’est une “peintresse oubliée”, comme l’appelait celui qui nous a légué ses tableaux. Elle fait partie de ces femmes invisibilisées par l’Histoire et a été parmi les premières à entrer à l’école des Beaux-Arts de Paris, au début du XXe siècle. Vers 1920, il leur a été proposé de partir en résidence dans les colonies françaises, en Afrique du nord et en Asie.
En 2024, Marie Nivouliès faisait partie des 17 artistes dont le travail a été présenté lors de l’exposition L’Orient des artistes voyageuses , au musée de l’Abbaye. »
À qui devez-vous ce geste ?
« À Christian Bryon, qui adorait l’art, le patrimoine, les livres. Il s’est pris de passion pour Marie Nivouliès, son aïeul, et s’est mis à écrire un livre sur elle. Un jour, il…