Ce 11 août 2025, Vincent Roy était invité sur le plateau de
L’Heure des Pros, sur CNews. Le journaliste était
interrogé sur le bilan économique et la gestion des finances
publiques d’Emmanuel Macron.
Alors qu’il dénonçait une gérance « catastrophique » du
président de la République et de son
gouvernement, il a fait une comparaison qui n’est pas passée
inaperçue.
CNews : un invité fait une comparaison surprenante
Ce lundi 11 août, sur
CNews, l’écrivain Vincent Roy a
amusé tout le plateau avec une comparaison pour le moins inattendu.
L’écrivain évoquait le bilan économique d’Emmanuel
Macron et sa gestion des finances publiques. Vincent Roy a
alors lâché, à propos du chef de l’État : « On nous l’a
vendu comme le Mozart des finances, lui et toute sa troupe, et on
se retrouve avec un Patrick Sébastien de la finance« .
De quoi provoquer des rires timides en plateau.
L’écrivain a ensuite ajouté : « et j’ai rien contre Patrick
Sébastien ». Il a ensuite expliqué son propos. « On a eu une
gestion catastrophique sur tous les plans. On voit
les résultats. Et on a le front de dire aux Français ‘attendez,
vous n’avez pas encore fait assez d’effort’ (…) Le responsable, le
chef, il s’appelle Emmanuel Macron » a-t-il déclaré.
Une comparaison étrange et un timing
pas vraiment idéal
Vincent Roy a alors laissé entendre qu’il considère qu’il y a un
énorme décalage entre l’image du
président de la République au moment de son arrivée à l’Élysée,
en 2017, et ses actions économiques, sept ans plus tard. En effet,
Emmanuel Macron, ancien banquier et ministre de l’Économie, avait
une réputation d’expert financier avant son
arrivée au pouvoir.
Mais le journaliste a choisi de la comparer à Patrick
Sébastien, qui se retrouve actuellement au cœur d’une énorme
polémique. Le 22 juillet dernier, le chanteur
donnait un concert dans un camping naturiste du Cap d’Agde. Une
spectatrice est alors montée sur scène pour le rejoindre, et les
deux ont mimé une fellation. La scène a rapidement fait le tour de
la Toile et déclenché un tollé, car des mineurs étaient présents
dans le public. Le moment n’était donc pas vraiment bien choisi
pour comparer le chef de l’État à
l’artiste populaire.