Dans un message posté il y a quelques heures sur les réseaux sociaux, et notamment sur Instagram, Diane Leyre, la Miss France 2022, a raconté la grosse frayeur qu’elle venait de vivre dans un train.
Diane Leyre se souviendra longtemps de ce trajet en train effectué cette semaine… Mais pas pour de bonnes raisons. La Miss France 2022 a en effet eu très peur en étant prise pour cible par un homme, comme elle le raconte dans un message posté en story Instagram.
Diane Leyre harcelée par un homme dans un train
« J’ai été suivie dans le train », écrit-elle ainsi en avouant avoir « rarement eu aussi peur ». « Et pourtant, je ne suis pas du genre à paniquer facilement », ajoute-t-elle avant de raconter en détails ce qui lui est arrivé. « J’ai senti à la gare qu’un homme me suivait, j’ai essayé de le semer, il m’attendait partout. J’ai fait semblant de changer de train, il m’a suivie, collée dans les escalators. J’ai fait semblant de rentrer dans un wagon, il est allé dedans puis m’a cherchée jusqu’à mon wagon. Il s’est approché de mes valises mais je me suis levée donc il est parti et il est retourné dans un autre wagon. Il est sorti ensuite au premier arrêt et a attendu sur le quai en guettant », détaille ainsi Diane Leyre en insistant sur le fait qu’elle « était en insécurité » d’autant plus qu’elle n’a pas vu de contrôleurs dans son train.
Diane Leyre secourue par la police en urgence
« Je n’ai pas osé bouger de mon siège pour chercher quelqu’un », poursuit l’ex-Miss France en précisant avoir appelé la police au cours du trajet pour les informer de la présence de cet inquiétant individu. « Merci à la Police de Valence et de Montpellier pour la récativité etg la gentillesse. Ils ont tout de suite fait en sorte de me rassurer », s’émeut la jeune femme qui est encore sous le choc après ce qu’elle qualifie elle-même de « grosse frayeur ». « Je suis encore en stress de la situation. Faites attention à vous. Et surtout, il ne faut pas hésiter à demander de l’aider quand on a le sentiment que quelque chose ne va pas », conclut Diane Leyre en rappelant qu’il ne « faut pas attendre le drame » pour réagir.