Avec le retour de Pierre-Emerick Aubameyang, l’Olympique de Marseille qui ouvre la saison de Ligue 1 ce vendredi à Rennes a réussi une préparation presque parfaite.

MIGUEL MEDINA / AFP

Avec le retour de Pierre-Emerick Aubameyang, l’Olympique de Marseille qui ouvre la saison de Ligue 1 ce vendredi à Rennes a réussi une préparation presque parfaite.

FOOTBALL – Le championnat de France (à suivre sur Ligue1+) est de retour avec un alléchant Rennes-Marseille en lever de rideau ce vendredi 15 août. Depuis son sacre en mai dernier, le PSG a remporté la Ligue des champions, été en finale de la Coupe du monde des clubs et gagné la Supercoupe d’Europe.

Pendant ce temps, les clubs de notre Liguain ont peaufiné leur préparation pour tenter de rivaliser avec le quadruple champion en titre. Avec du bon et du moins bon.

Les tops

Les marmites marseillaises. Six matchs, pas une défaite et des succès de choix, notamment contre un quart-de-finaliste de la dernière C1 : les Marseillais ont hâte d’en découdre. L’enchaînement Gérone, Valence, Séville et Aston Villa a été négocié sans accroc. Avec comme cerise sur le gâteau, le retour très attendu d’un Pierre-Emerick Aubameyang qui a mis Amine Gouiri dans son rétroviseur en vingt minutes et un doublé inscrit contre les Villans. Sur la Canebière, on connaissait les marmites du pêcheur, on connait désormais très bien celles qu’ont envoyées Mason Greenwood et Jonathan Rowe dans les lucarnes adverses.

Khalis Merah, le dernier joyau made in OL. Propulsé dans le groupe pro dès la reprise des entraînements, le jeune Khalis Merah (il faut prononcer « kalisse », pas « ralisse ») a rentabilisé de la meilleure des manières le temps de jeu que Paulo Fonseca lui a offert.

Un trouble-fête nommé Stade brestois. Après avoir impressionné l’Europe en Ligue des champions la saison passée, Brest a décidé de remettre le couvert avant même son retour à la compet’. Une sorte de quatre-heures (avant d’aller titiller les gros de Ligue 1) composé des voisins locaux (Concarneau, Rennes, Le Havre) et d’un Napoli fraîchement champion d’Italie qui traînait juste-là, comme ça.

Les flops

Toulouse FC ou l’exemple de la prépa mal jaugée. Très bon en com’, moins en gestion de planning. Carles Martínez Novell et son staff ont vu peut-être un peu trop gros, et se sont même cassés les dents contre plus petit. Un premier match nul contre Pau, puis quatre défaites dont deux valises en soute : 0-6 contre Stuttgart, 0-7 face à Leipzig. Fanny deux fois.

FC Nantes et le fantôme Radaković. Nantes, c’est un peu la même chanson que Toulouse : quatre défaites sur cinq, une prépa inquiétante. À cette différence près que le FCN perd contre des équipes censées être à sa portée (Guingamp, Rennes, Angers et Paris FC) et amuse la galerie avec un fantôme nommé Uroš Radaković.

On ne sait pas trop quoi en penser

Monaco, ou l’overdose de matchs amicaux. En Ligue 1, la plupart des clubs ont opté pour la formule classique des matchs amicaux. En Principauté, on a choisi de faire différemment, en programmant huit rencontres de prépa réparties sur exactement 29 jours, du 11 juillet au 8 août.

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