Il est déjà midi passé sous le soleil caniculaire de ce début août. Quelques vaillants travailleurs (comme nous) subsistent encore dans les rues de Saint-Étienne, pendant que leurs collègues sont quelque part au bord de l’eau, les doigts de pied en éventail.
Les ventres commencent à gronder : c’est l’heure de manger. Alors, on s’est demandé : est-il encore possible de faire un « vrai » repas pour cinq euros ? À l’heure où tout a augmenté, de l’immobilier au carburant, les restaurants, fast-food et épiceries ne sont pas en reste.
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Les fast-foods essaient de se démarquer
Dans le quartier d’affaires de Châteaucreux, beaucoup de restaurants sont fermés (temporair…