« Ce changement est causé par des facteurs climatiques et environnementaux comme la hausse des températures, des étés plus longs, des hivers plus doux et des changements dans la pluviométrie – des problèmes qui se combinent pour créer un environnement favorable aux moustiques, où ils prospèrent et transmettent des virus », selon l’ECDC. À cela s’ajoute une augmentation des voyages internationaux, rendant plus probables les épidémies locales.
Le moustique tigre (Aedes albopictus), pouvant répandre le virus du chikungunya, s’est établi dans 16 pays européens et 369 régions, contre seulement 114 régions il y a une décennie, a indiqué l’ECDC. Vingt-sept cas de chikungunya ont été enregistrés pour le moment en 2025, principalement en France et en Italie. Un nouveau record pour le continent.