Vladimir Poutine ? « Un ogre à nos portes », cingle Emmanuel Macron sur LCI. Benyamin Netanyahou ? Son « analyse est erronée, abjecte et ne demeurera pas sans réponse », prévient la présidence française après la lettre du Premier ministre israélien dans laquelle ce dernier accuse le chef de l’État d’« alimenter le feu de l’antisémitisme » en France en voulant reconnaître l’État palestinien. Le bras de fer avec l’Algérie ? « La France doit être forte et se faire respecter », écrit le président de la République.

Sur tous les dossiers internationaux, Emmanuel Macron durcit le ton. Comme dans la fable de La Fontaine, l’agneau est-il devenu loup, considérant désormais que « la raison du plus fort est toujours la meilleure » ?