Trois semaines après l’humiliante séquence écossaise subie par Ursula von der Leyen sur le golf de Donald Trump, l’Europe et les États-Unis ont publié le document final : une « déclaration commune » qui acte la reddition européenne déguisée en partenariat. Le commissaire européen Maros Sefcovic, en charge du commerce, a tenté de faire bonne figure en qualifiant d’accord-cadre « équitable et équilibré » ce qui s’avère être la première facture de protection payée par l’Union européenne au parrain américain. Les « concessions » américaines portent, en vérité, sur des produits dont les États-Unis ont besoin et ne sont pas de réels renoncements commerciaux.
Pour comprendre la violence de ce rapport de force, il faut revenir aux règles d’exportation des puces d’intelligence artificielle imposé…
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