Il n’a pas pu aller à Gaza : « Trop compliqué, trop dangereux ». Il en a cependant ramené les mots d’un prêtre rattaché à la paroisse de l’enclave palestinienne. Avec émotion, l’archevêque de Tours lance l’enregistrement de l’échange de neuf minutes qu’il a eu depuis Jérusalem avec le père Romanelli. « Il nous a demandé de témoigner : la situation est terrible, la faim est partout, le manque de soin, rapporte Mgr Vincent Jordy, de retour à son bureau de la rue des Ursulines à Tours. Selon lui, il n’y a même pas un signe d’espoir….

Cet article a été tronqué. Abonnez-vous pour lire l’article complet sur notre site.

 »

Cet article a été tronqué. Abonnez-vous pour lire l’article complet.


S’abonner